Élodie est revenue une fois. Puis deux.
Sans même s’en rendre compte, elle a pris l’habitude de pousser la porte du poste de l’Armée du Salut. Elle n’a plus besoin de colis alimentaires. Mais elle revient quand même.
Ce lieu est devenu un refuge. Elle y est discrète, souvent silencieuse. Pourtant, elle s’y sent bien.
💬 Chaque regard bienveillant, chaque sourire échangé, chaque bonjour sincère compte.
Ce n’est pas grand-chose, mais pour elle, c’est immense.
🌤️ L’isolement commence à reculer. Elle reprend goût aux échanges, à la vie partagée.
Elle n’est plus seulement une femme dans la détresse :
elle est Élodie, une personne reconnue, écoutée.
Ce lieu est modeste, mais il est devenu pour elle un point d’ancrage.L’espoir, encore fragile, recommence à germer.

